La science balbutie, comme d’habitude

Publié le par Bernard Pradines

Source : CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3445157

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Il y a un immense fossé entre spéculations diverses et hypothèses scientifiques.

Dans le premier cas, une certitude est avancée, souvent présentée comme niée par les autorités et les médias. Dans le second cas, c’est une démarche rationnelle qui accepte le doute comme une réalité qui doit être acceptée. Prendre le risque de médicaments mal testés dans la pathologie en cours n’est pas une démarche conforme aux bonnes pratiques médicales.

Ainsi, dans le domaine épidémiologique concernant la transmission virale, une nouvelle hypothèse d’hôte intermédiaire pour le SARS-Cov-2 entre la chauve-souris et les humains est-elle avancée par un virologue allemand. Celle d’un animal dont la fourrure est l’objet de commerce en Chine : le chien viverrin.

Nous voici renvoyés à nos cours de sciences naturelles devenues sciences de la vie et de la terre.

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La science balbutie, comme d’habitude
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