Un texte proposé par Papi, spécialiste en observation et traduction de publications venant des Etats-Unis et du monde anglo-saxon en général. Une origine que ce texte trahit par certains côtés. Des considérations qui seront bientôt datées du fait de l'évolution actuelle des rôles dans la famille.
Cuisiner peut être un plaisir aussi bien qu’une corvée et une source de conflits quand un convive n’apprécie jamais vos efforts.
Le site caring.com propose 6 suggestions :
- Demandez à votre éternel insatisfait ce qu’il aimerait manger, ce qu’il ne veut pas manger, et pourquoi. On trouve souvent à la base de cette opposition le besoin d’affirmer son indépendance. En abordant le sujet, vous lancez la balle dans son camp et le faites participer à la prise de décision. Choisissez un moment favorable, en milieu de journée, surtout pas pendant le repas si la situation est tendue. Une liste des plats appréciés et détestés peut être élaborée en commun.
- Préparez ensemble le menu de la semaine. La présence d’un plat apprécié sur la liste en fera accepter un autre qui l’est moins.
- Demandez à votre grand difficile de vous aider à préparer le repas. Sa participation conduit à une responsabilité, il sera moins porté à critiquer ce qu’il aura en partie préparé.
- Soignez l’ambiance. Se croire sur un champ de bataille n’ouvre pas l’appétit. Mettez la table avec soin. Soignez la présentation. Ajoutez de la conversation, un fond musical, la télévision de temps à autre. On peut manger mécaniquement tout en regardant l’écran.
- Jouez sur la nostalgie. La cuisine d’antan était meilleure, faites-vous raconter en détail. Vous pourrez vous risquer à copier de votre mieux.
- Allez de temps à autre au restaurant ! Le menu permet de choisir, et offre une occasion à votre délicat d’affirmer son indépendance. De plus si contestation il y a, elle sera plus discrète.
Sources : http://www.caring.com/articles/secrets-to-pleasing-a-picky-eater
http://www.caring.com/articles/tips-and-tricks-for-pleasing-picky-eaters